Jene souffre plus, mon corps me laisse enfin le repos tant demandé, fini le tourment, finis ces soins tellement désobligeants pour ma fierté. Je me repose sans douleur, sans contrainte, Je n’ai pas de colère, je ne regrette rien. Je vous quitte, mais je reste dans vos mémoires, Pensez à moi souvent, mais ne soyez pas attristés
Poèmes d'amour tristes Tu m'emmènes ...?? Emmène-moi............aux bras du ciel Éclaire mon chemin...laisse-moi aller.. Prends le temps de me rendre éternelle... Je finirai là où j'ai commencé... Guide-moi et d'un air solennel Donne-moi ta main... tu sauras me guider ... Chacun de tes mots d'amour, écoute les silences.... Ils sont au prise de leur intuition Ils se voudraient indifférence.... Mais ils accélèrent à l'inspiration Chacun de tes gestes est souffrance Mon moi est en révolution.... ... Emporte mon âme, elle est si rebelle Éclaire la route, du bout de l'allée... Illumine ma nuit du bout du ciel.... Ce voyage, du monde des fous à lier.. Ni demain,ni la semaine ancienne ou réelle Ne finira dans la réalité ... Poèmes d'amour tristes Pourras-tu me répondre ??? Que me dirais-tu mon ami , si demain, oui, j'arrivais ? Que me dirais-tu si jamais on se parlait pour de vrai Quelle serait notre réaction devant la trop vraie réalité ? Que serait ce premier geste pouvant nous amadouer ? ... Tu es loin, si loin ! Tellement trop loin, de mon pays Est-ce que tu écouterais de mon coeur tous les cris ? J'aimerais tant que nous prenions alors un bon café Que tu me donnes la main; que tu saches me guider... ... Ami, je me suis perdue dans la traitrise des liens Les gens sont tellement de vrais parfaits comédiens Il y a en moi, une blessure profonde en la confiance Est-ce que je peux encore oser prendre une chance ? ... Allons lentement, le visage au vent, yeux asséchés Voyons ce que la vie, ou le temps nous a préservé Il me semble te connaître sans mots je sais ta vie Toi tu sais déjà ces mots par lesquels on communie ... ... Veux-tu, dis-moi en toute sincérité, s'il te serait bon Que je commence à nous décrire le bâtir d'un pont Quand il serait terminé nous franchirions cet au-delà La distance effacée, nous cheminerions pas à pas ... ... À bientôt mon ami !!! Poèmes d'amour tristes Regarde en toi !!! . Et Dieu te parle de tes blessures . Tu sais, il y a des choses dans la vie Qui ne naissent que dans l'eau, les larmes et le sang . Ainsi naissent, une perle, un enfant, un couple, une famille .... ..... ... Verlaine n'a-t-il point crié " Ô mon Dieu , vous m'avez blessé d'amour. Et la blessure est encore vibrante . " Ô mon Dieu,vous m'avez blessé d'amour . Et la blessure est encore là qui tonne." ... . ... *****Et Dieu de te répondre . Regarde ta propre blessure elle est là en toi ! Accueille-la . Chéris-la . N'aies pas peur. Partage ta faiblesse, ainsi tu partageras ton amour, Ce qu'il y a de plus secret en toi, De plus mystérieux et aussi de plus beau . Ta blessure doit s'ouvrir Pour laisser place à la tendresse Comme les nuages se dissipent Pour laisser percer le soleil . La blessure, en effet, Creuse un lit, un creux, un espace intérieur Où peut circuler la vie, le bonheur, l'Esprit . . . . Ta blessure, se fera amour . . . Poèmes d'amour tristes DIS - MOI SERAS - TU LÀ ? .......... Dis-moi, dis est -ce que tu saurais me tendre la main ? Aide-moi, je t'en prie, j'ai perdu mes tendres repères J'ai prié ... et je pleure personne n'entend ma prière Viens m'aider, je crains qu'il y ait une fin à ce chemin. J'ai froid! J'ai tellement peur d'être déjà morte demain J'ai à traverser sans me noyer, cette trop large rivière Je t'en prie,il faudrait me dire tout ce que je dois faire S'il- te- plaît guide-moi ! Mon ami,éclaircit mon destin ... Comme une reine qui attend le chant, de son baladin Je cherche des yeux une lueur de ma joie qui espère Il me faut chasser au loin tous mes souvenirs amers Mais ma mémoire se joue de moi, et, revient sans fin Elle combat rires et joies par de monstrueux chagrins Dis-moi, est-ce que ma vie te trouvera. sans mystère ? Redis-moi tous ces mots, qui effaceront cette misère Souviens-toi je sera là aux premières lueurs du matin ... ... Je ne sais pas comment je me présenterai si soudain J'ai trop nagé, et que fatiguée je ne sais pas que faire ... Et puis, je me débâts, dans ces flots qui désespèrent Saurais-tu m'aider et m'éclairer, tous mes lendemains ? Écris-moi les mots que j'attends sur papier parchemin J'irai les lire, un doux soir, sous de beaux reverbères Bien entendu, je me croirai encore revenue en arrière ... Mais dis-moi en premier sauras-tu me tendre ta main? Poèmes d'amour tristes Oui, un nouveau jour se lève Un soleil neuf éclaire notre rêve. Lève toi de ce banc de solitaire Viens te réchauffer contre mon cœur. ...... Écoute ma voix déclamer les vers D'un poète dont le jardin en fleurs Attend depuis la nuit des temps Que tu viennes partager son printemps. ...... Fini de construire notre pont Je suis déjà debout sur le ponton Et vais de ce pas m'y engager Pour te rejoindre sur la rive opposée. ....... J'ai oublié mes peines, séché mes pleurs Je te rejoint enfin sans peur Mais écoute mon silence qui te conte Les secrets de notre entente. ..... Plus de larmes, de douleurs, plus de cris Nous sommes ensemble aujourd'hui Suivons le chemin qui mène à notre union Ce ne peut être autre que ce pont. ..... Il prend de plus en plus forme Chaque jour qui nous réunis Et peu à peu nous transforme En une seule et unique vie. Poèmes d'amour tristes Le pont...~~~ *** Je travaille toujours à bâtir notre pont ... Ces 2 mondes qui aujourd'hui nous séparent ... Un jour,après-demain, se réuniront .... J'arriverai un autre jour à cette gare.... Ainsi le veut, toutes les chansons .. Ainsi , le chante l'amour qui se prépare Je suis avec toi ... à l'unisson .... Regarde bien, regarde, je pars ... *** Si entre nous le chemin est grand ... C'est presque rien qui nous relie ... Nos deux mondes sont si différents ... Attends-moi ... j'ai bien compris ... Ce que nos yeux ne voient pas vraiment Mon coeur le sait ... mon coeur le sent d'ici Mais j'oublie si souvent, trop souvent .... N'oublie pas moi, je t'ai promis ..... *** Je tisse un pont invisible et long ... Pour aimer et venir vers toi ... Je suis sur la route, je fonce au front Je n'aime toujours que toi ... Parfois je fais quelques bonds ... Je cours, je cours vers toi .... Je te vois, tu es là dans mon horizon ... Accueille-moi ... contre toi ... garde-moi .... *** Au loin ... j'entends à peine .... Tous ces gens ... tous ces étrangers ... Un jour .... parmi nos centaines ... Nous arriverons ... pour nous rencontrer ... Ce sang circulant dans mes veines Ne veut venir que pour t'Aimer .... Un jour, une nuit, chose certaine ... J'arriverai .... je saurai t'aimer ..... ......... On dirait que je regarde un nouveau jour, se lever Je crains qu'il ne se lève pour rien, une autre fois En fait, j'ignore en mon être ce qui pourrait arriver Vraiment je me sens perdue dans un sous- bois ..... J'ai froid ! Je viens de trouver un banc de solitaire Je vais aller m'y reposer! Je n'entends pas ta voix .... Il est là à l'abri! Le pont pour y aller juste la pierre Le silence ! Même l'écho ne te ramène pas à moi ..... Es-tu à pleurer et sur ton coeur et sur tes peines ? Je me sens abandonnée !Trop seule aujourd'hui .. Conte-moi tout bas les secrets qui sont en scène Dis-moi tes larmes! Dis-moi tes douleurs,tes cris .. ..... Aide-moi à bâtir ce chemin menant à notre union Je ne veux pas me retrouver sur un sens unique ... Il te faut être là pour m'aider à bâtir tous ces ponts Toi et moi....nos vies pourraient être si magiques ..... Viens ! Ose-le ce pas ! Allons de l'avant tu veux? Je t'offre tout de moi ! Même mes désirs obscurs Fais un pas, un tout petit pas ! Tu seras heureux .. . Avance un peu ! Mon pont peut vaincre tes murs .... Ne pleure pas voici le vrai message des cieux ***** Ne pleure pas sur ce que tu as perdu, .......................................... lutte pour ce que tu as. Ne pleure pas sur celui qui est mort, ................................ lutte pour ce qui est né en toi. Ne pleure pas sur qui t’a abandonné, ...............................lutte pour celui qui est avec toi. Ne pleure pas sur celui qui te hait, .......................................lutte pour celui qui t’aime. Ne pleure pas sur ton passé, ............................................lutte pour ton présent. Ne pleure pas sur ta souffrance, ...........................................lutte pour ton bonheur. Ne pleure pas pour ce que demain sera ...............................lutte pour ta confiance et ta foi. Avec toutes les choses que nous vivons, ...........................................nous apprenons que .......... TOUT PROBLÈME A SA SOLUTION........... ..... Il te faut simplement aller de l’avant !!! »».. Gitane... dis-moi ma folie ...crie Gitane... comment va ma vie...?? Gitane... como mi vida es asi ... ? Que dois-je faire de cette vie ....? Chante pour moi, une rapsodie Invente toutes ces notes qui supplient Gitane... guide-moi dans ma folie Il est là ... je t'en supplie !!! Danse avec moi ,Gitane chérie Les tambourins... font tant de bruits... Je veux assouir mes envies ... Les violons transpercent ma nuit ... Gitane garde-moi.... tu es toujours ma Vie Berce-moi.... de tout mon ennui... Tue en moi, mes chants meurtris... J'ai trop mal de LUI ... Gitane, hurle-moi qui je suis Hurle-le lui .... moi, c'est fini Je ne parle plus je fuis ... Viens danser je veux l'oubli ....
Phonétique(Cliquez pour la liste complète): caca cacao cacaos cacaoté cacas cagot cahot cahoté caïd caïeu caïque caïques cake cakes caoua caouas caqua caquai caquais caquait caquas caquât caque caqué caquée caquées caques caqués caquet caqueté cas casé Cau causé CC cc cécité CO coaccusé coca cocas côcha côchai côchais côchait côchas côchât côche côché
Hors ligne 13 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chéri de t'aimer Ma douce éternité Cette nuit j'ai révé A tes baisers sucrés Je t'ai donné mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes désirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai écrit mon amour Je l'ai fait sans détour Tu as crié ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers CARLAME Invité Hors ligne Hors ligne 13 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chéri de t'aimer Ma douce éternité Cette nuit j'ai révé A tes baisers sucrés Je t'ai donné mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes désirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai écrit mon amour Je l'ai fait sans détour Tu as crié ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos versDouceur et amour , de magnifiques vers Gaby!😊 Hors ligne 13 Juillet 2019 Douceur et amour , de magnifiques vers Gaby!😊 Merci Véronique pour ton ressenti Bonne journée Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 Merci Carlame de ton passage marqué Bonne journée Amicalement Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 Agréable lecture de bon matin, merci Gaby Merci personne et bonne journée Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 Merci personne et bonne journée Gaby Bon samedi Gaby o Maître poète Hors ligne 14 Juillet 2019 coucou ma Gaby Quelle tendresse en toi ! A chaque fois tes sentiments me touchent ! Gros bisous de ta Rose * qui ne regarde poo le défilé hé hé ! o Maître poète Hors ligne 14 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chéri de t'aimer Ma douce éternité Cette nuit j'ai révé A tes baisers sucrés Je t'ai donné mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes désirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai écrit mon amour Je l'ai fait sans détour Tu as crié ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers Hors ligne 14 Juillet 2019 coucou ma Gaby Quelle tendresse en toi ! A chaque fois tes sentiments me touchent ! Gros bisous de ta Rose * qui ne regarde poo le défilé hé hé ! Moi je l'ai regardé ma rose. Merci pour ta gentille appréciation tendresse ma rose gros bisous Ta gaby Hors ligne 14 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chéri de t'aimer Ma douce éternité Cette nuit j'ai révé A tes baisers sucrés Je t'ai donné mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes désirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai écrit mon amour Je l'ai fait sans détour Tu as crié ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos verspour quelle raison voulez vous souffrir gentille Gaby, prenez chaque jour de bonheur que la vie vous offre, déguster la, profitez-en , soyez heureuse et ne pensez pas aux jours tristes! votre Éole prend des forces, il grandit, il a beaucoup de pletites plumes sur ses jambres et jusque sur ses pattes, c'est un Marans Gris, ce sera un beau coq! Hors ligne 14 Juillet 2019 pour quelle raison voulez vous souffrir gentille Gaby, prenez chaque jour de bonheur que la vie vous offre, déguster la, profitez-en , soyez heureuse et ne pensez pas aux jours tristes! votre Éole prend des forces, il grandit, il a beaucoup de pletites plumes sur ses jambres et jusque sur ses pattes, c'est un Marans Gris, ce sera un beau coq! Merci Emie pour ton appréciation mais ce n'est qu'un poème Et merci pour les petites nouvellestructures d'Eole .Gaby
voilatous sur ma vie des poème et des chevaux que j'aime tant !!!!! Les poème. Centerblog. Articles; Blogs; Images; Partager sur Facebook Partager sur Twitter. Rechercher. Gérer mon blog. Ajouter en ami. A propos de ce blog. Nom du blog : mel0259 Description du blog : voila tous sur ma vie des poème et des chevaux que j'aime tant !!!!! Catégorie : Blog Photo Date de création :
60 poèmes <13456Phonétique Cliquez pour la liste complète ! ; ? à ah çà ha haï hâté hi ho hué thé yé-yé entaient entant entend entendaient entendais entendait entendant entende entendement entendements entendent entendes entendeur ... Frappe encor, Jupiter, accable-moi, mutile L'ennemi terrassé que tu sais impuissant ! Écraser n'est pas vaincre, et ta foudre inutile S'éteindra dans mon sang, Avant d'avoir dompté l'héroïque pensée Qui fait du vieux Titan un révolté divin ; C'est elle qui te brave, et ta rage insensée N'a cloué sur ces monts qu'un simulacre vain. Tes coups n'auront porté que sur un peu d'argile ; Libre dans les liens de cette chair fragile, L'âme de Prométhée échappe à ta fureur. Sous l'ongle du vautour qui sans fin me dévore, Un invisible amour fait palpiter encore Les lambeaux de mon cœur. Si ces pics désolés que la tempête assiège Ont vu couler parfois sur leur manteau de neige Des larmes que mes yeux ne pouvaient retenir, Vous le savez, rochers, immuables murailles Que d'horreur cependant je sentais tressaillir, La source de mes pleurs était dans mes entrailles ; C'est la compassion qui les a fait jaillir. Ce n'était point assez de mon propre martyre ; Ces flancs ouverts, ce sein qu'un bras divin déchire Est rempli de pitié pour d'autres malheureux. Je les vois engager une lutte éternelle ; L'image horrible est là ; j'ai devant la prunelle La vision des maux qui vont fondre sur eux. Ce spectacle navrant m'obsède et m'exaspère. Supplice intolérable et toujours renaissant, Mon vrai, mon seul vautour, c'est la pensée amère Que rien n'arrachera ces germes de misére Que ta haine a semés dans leur chair et leur sang. Pourtant, ô Jupiter, l'homme est ta créature ; C'est toi qui l'as conçu, c'est toi qui l'as formé, Cet être déplorable, infirme, désarmé, Pour qui tout est danger, épouvante, torture, Qui, dans le cercle étroit de ses jours enfermé, Étouffe et se débat, se blesse et se lamente. Ah ! quand tu le jetas sur la terre inclémente, Tu savais quels fléaux l'y devaient assaillir, Qu'on lui disputerait sa place et sa pâture, Qu'un souffle l'abattrait, que l'aveugle Nature Dans son indifférence allait l'ensevelir. Je l'ai trouvé blotti sous quelque roche humide, Ou rampant dans les bois, spectre hâve et timide Qui n'entendait partout que gronder et rugir, Seul affamé, seul triste au grand banquet des êtres, Du fond des eaux, du sein des profondeurs champêtres Tremblant toujours de voir un ennemi surgir. Mais quoi ! sur cet objet de ta haine immortelle, Imprudent que j'étais, je me suis attendri ; J'allumai la pensée et jetai l'étincelle Dans cet obscur limon dont tu l'avais pétri. Il n'était qu'ébauché, j'achevai ton ouvrage. Plein d'espoir et d'audace, en mes vastes desseins J'aurais sans hésiter mis les cieux au pillage, Pour le doter après du fruit de mes larcins. Je t'ai ravi le feu ; de conquête en conquête J'arrachais de tes mains ton sceptre révéré. Grand Dieu ! ta foudre à temps éclata sur ma tête ; Encore un attentat, l'homme était délivré ! La voici donc ma faute, exécrable et sublime. Compatir, quel forfait ! Se dévouer, quel crime ! Quoi ! j'aurais, impuni, défiant tes rigueurs, Ouvert aux opprimés mes bras libérateurs ? Insensé ! m'être ému quand la pitié s'expie ! Pourtant c'est Prométhée, oui, c'est ce même impie Qui naguère t'aidait à vaincre les Titans. J'étais à tes côtés dans l'ardente mêlée ; Tandis que mes conseils guidaient les combattants, Mes coups faisaient trembler la demeure étoilée. Il s'agissait pour moi du sort de l'univers Je voulais en finir avec les dieux pervers. Ton règne allait m'ouvrir cette ère pacifique Que mon cœur transporté saluait de ses vœux. En son cours éthéré le soleil magnifique N'aurait plus éclairé que des êtres heureux. La Terreur s'enfuyait en écartant les ombres Qui voilaient ton sourire ineffable et clément, Et le réseau d'airain des Nécessités sombres Se brisait de lui-même aux pieds d'un maître aimant. Tout était joie, amour, essor, efflorescence ; Lui-même Dieu n'était que le rayonnement De la toute-bonté dans la toute-puissance. O mes désirs trompés ! O songe évanoui ! Des splendeurs d'un tel rêve, encor l'œil ébloui, Me retrouver devant l'iniquité céleste. Devant un Dieu jaloux qui frappe et qui déteste, Et dans mon désespoir me dire avec horreur Celui qui pouvait tout a voulu la douleur ! » Mais ne t'abuse point ! Sur ce roc solitaire Tu ne me verras pas succomber en entier. Un esprit de révolte a transformé la terre, Et j'ai dès aujourd'hui choisi mon héritier. Il poursuivra mon œuvre en marchant sur ma trace, Né qu'il est comme moi pour tenter et souffrir. Aux humains affranchis je lègue mon audace, Héritage sacré qui ne peut plus périr. La raison s'affermit, le doute est prêt à naître. Enhardis à ce point d'interroger leur maître, Des mortels devant eux oseront te citer Pourquoi leurs maux ? Pourquoi ton caprice et ta haine ? Oui, ton juge t'attend, - la conscience humaine ; Elle ne peut t'absoudre et va te rejeter. Le voilà, ce vengeur promis à ma détresse ! Ah ! quel souffle épuré d'amour et d'allégresse En traversant le monde enivrera mon cœur Le jour où, moins hardie encor que magnanime, Au lieu de l'accuser, ton auguste victime Niera son oppresseur ! Délivré de la Foi comme d'un mauvais rêve, L'homme répudiera les tyrans immortels, Et n'ira plus, en proie à des terreurs sans trêve, Se courber lâchement au pied de tes autels. Las de le trouver sourd, il croira le ciel vide. Jetant sur toi son voile éternel et splendide, La Nature déjà te cache à son regard ; Il ne découvrira dans l'univers sans borne, Pour tout Dieu désormais, qu'un couple aveugle et morne, La Force et le Hasard. Montre-toi, Jupiter, éclate alors, fulmine, Contre ce fugitif à ton joug échappé ! Refusant dans ses maux de voir ta main divine, Par un pouvoir fatal il se dira frappé. Il tombera sans peur, sans plainte, sans prière ; Et quand tu donnerais ton aigle et ton tonnerre Pour l'entendre pousser, au fort de son tourment, Un seul cri qui t'atteste, une injure, un blasphème, Il restera muet ce silence suprême Sera ton châtiment. Tu n'auras plus que moi dans ton immense empire Pour croire encore en toi, funeste Déité. Plutôt nier le jour ou l'air que je respire Que ta puissance inique et que ta cruauté. Perdu dans cet azur, sur ces hauteurs sublimes, Ah ! j'ai vu de trop près tes fureurs et tes crimes ; J'ai sous tes coups déjà trop souffert, trop saigné ; Le doute est impossible à mon cœur indigné. Oui ! tandis que du Mal, œuvre de ta colère, Renonçant désormais à sonder le mystère, L'esprit humain ailleurs portera son flambeau, Seul je saurai le mot de cette énigme obscure, Et j'aurai reconnu, pour comble de torture, Un Dieu dans mon Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 968 votesLa trompette a sonné. Des tombes entr'ouvertes Les pâles habitants ont tout à coup frémi. Ils se lèvent, laissant ces demeures désertes Où dans l'ombre et la paix leur poussière a dormi. Quelgues morts cependant sont restés immobiles ; Ils ont tout entendu, mais le divin clairon Ni l'ange qui les presse à ces derniers asiles Ne les arracheront. Quoi ! renaître ! revoir le ciel et la lumière, Ces témoins d'un malheur qui n'est point oublié, Eux qui sur nos douleurs et sur notre misère Ont souri sans pitié ! Non, non ! Plutôt la Nuit, la Nuit sombre, éternelle ! Fille du vieux Chaos, garde-nous sous ton aile. Et toi, sœur du Sommeil, toi qui nous as bercés, Mort, ne nous livre pas ; contre ton sein fidèle Tiens-nous bien embrassés. Ah! l'heure où tu parus est à jamais bénie ; Sur notre front meurtri que ton baiser fut doux ! Quand tout nous rejetait, le néant et la vie, Tes bras compatissants, ô notre unique amie ! Se sont ouverts pour nous. Nous arrivions à toi, venant d'un long voyage, Battus par tous les vents, haletants, harassés. L'Espérance elle-même, au plus fort de l'orage, Nous avait délaissés. Nous n'avions rencontré que désespoir et doute, Perdus parmi les flots d'un monde indifférent ; Où d'autres s'arrêtaient enchantés sur la route, Nous errions en pleurant. Près de nous la Jeunesse a passé, les mains vides, Sans nous avoir fêtés, sans nous avoir souri. Les sources de l'amour sous nos lèvres avides, Comme une eau fugitive, au printemps ont tari. Dans nos sentiers brûlés pas une fleur ouverte. Si, pour aider nos pas, quelque soutien chéri Parfois s'offrait à nous sur la route déserte, Lorsque nous les touchions, nos appuis se brisaient Tout devenait roseau quand nos cœurs s'y posaient. Au gouffre que pour nous creusait la Destinée Une invisible main nous poussait acharnée. Comme un bourreau, craignant de nous voir échapper, A nos côtés marchait le Malheur inflexible. Nous portions une plaie à chaque endroit sensible, Et l'aveugle Hasard savait où nous frapper. Peut-être aurions-nous droit aux celestes délices ; Non ! ce n'est point à nous de redouter l'enfer, Car nos fautes n'ont pas mérité de supplices Si nous avons failli, nous avons tant souffert ! Eh bien, nous renonçons même à cette espérance D'entrer dans ton royaume et de voir tes splendeurs, Seigneur ! nous refusons jusqu'à ta récompense, Et nous ne voulons pas du prix de nos douleurs. Nous le savons, tu peux donner encor des ailes Aux âmes qui ployaient sous un fardeau trop lourd ; Tu peux, lorsqu'il te plaît, loin des sphères mortelles, Les élever à toi dans la grâce et l'amour ; Tu peux, parmi les chœurs qui chantent tes louanges, A tes pieds, sous tes yeux, nous mettre au premier rang, Nous faire couronner par la main de tes anges, Nous revêtir de gloire en nous transfigurant. Tu peux nous pénétrer d'une vigueur nouvelle, Nous rendre le désir que nous avions perdu… Oui, mais le Souvenir, cette ronce immortelle Attachée à nos cœurs, l'en arracheras-tu ? Quand de tes chérubins la phalange sacrée Nous saluerait élus en ouvrant les saints lieux, Nous leur crierions bientôt d'une voix éplorée Nous élus ? nous heureux ? Mais regardez nos yeux ! Les pleurs y sont encor, pleurs amers, pleurs sans nombre. Ah ! quoi que vous fassiez, ce voile épais et sombre Nous obscurcit vos cieux. » Contre leur gré pourqoui ranimer nos poussières ? Que t'en reviendra-t-il ? et que t'ont-elles fait ? Tes dons mêmes, après tant d'horribles misères, Ne sont plus un bienfait. Au ! tu frappas trop fort en ta fureur cruelle. Tu l'entends, tu le vois ! la Souffrance a vaincu. Dans un sommeil sans fin, ô puissance éternelle ! Laisse-nous oublier que nous avons Malheureux Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 1051 votes<13456Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZJene croyais pas trouver là Des raisons de souffrir encor! -Un jardin, son humble décor, - (Lequel de nous deux a donc tort?) Mais ton oeil ressemble aux lilas! Tu sais, je n'anticipais pas, Je ne m'étais pas dit, vraiment, Moi qui te combats prudemment, Qu'à chaque instant, à chaque pas, Je heurterais mon coeur qui songe À quelque chose
Jel’ai quitte je souffre au cerveau. Selam c’est mon cerveau qui souffre pas moi. Je ne l’aime plus. J’ai souffert 1an. J’epargne les details. Je l’ai quitte. Cette relation est morte pour moi. Mais je souffre. La journee j’ai peur de le croiser. J’ai ps envie. Il
ilfaut comprendre une fois pour toute que ce sentir bien ne peut venir que de nous de notre vouloir sincère Par marie-reine+méheri, le 21.12.2016 tu sais la vie c'est vraiment de la merde, je le sais, tu le sais, tout le monde le sais. je suis aussi isolé Par Anonyme, le 23.07.2015 tu sais..? certe s, je ne te connais pas, et tu ne me
ons'aime et on s'déchire comme si rien n'avais existé. je t'aime et tu me fais souffrir. à croire que tu ne m'a jamais aimé. moi je t'aime et tu me blesses. je te hais de jour en jour. moi je t'aime et tu me laisses. seul avec mon amour. mon coeur s'éteint encore. plus7oOfHs.