Quandje serai mort, on ne me fera plus souffrir. mort, Paul Claudel Quand je serai mort, on ne me fera plus souffrir. Navigation de l’article. ← Citation précédent. Citation suivant →. Cartes de Condoléances. Carte de condoléances Promesse. La jeunesse offre la promesse du bonheur, mais la vie offre les réalités du deuil. Carte de condoléances Amour. Nous comprenons la mort
Cœur détruit L’amour ma quitté Dans les profondeurs de mon cœur Une brèche c'est crée Tu en à profité pour t'échapper sans peur Doucement tu as filé dans le vent Emportant avec toi tout mon bonheur d'aimer Sans état d'âme ni regret tu t'éloigne lentement Dans l'espace tu te disperse sans te retourner Tu ne m’as pas laissé le choix. J'ai laissé échapper mon cœur Il part à la dérive il à peur Normal il souffre il à mal Il voudrait ne plus ressentir cette douleur. Cette chose là est impossible je le sais bien Car il contient tout l'amour que j'ai pour toi Je ne sais plus quoi faire car il est partagé en deux Mon cœur à deux faces Il voudrait le rassurer Lui dire que ça vie n'est pas fini Mais le cœur malheureux ne veut rien entendre Il c'est que pour lui ça vie est terminer. J’ai juste besoin d’un peu d’attention Te parler seul à seul quelques instants Te dire ce que je pense, prononcer ton nom… M’ouvrir à toi, t’avouer mes sentiments Te dire à quel point tu comptes pour moi Mon besoin de te protéger, de rester à tes côtés Je ne veux que ton bonheur, resté avec toi Dans ces bons moments et dans les pires, pour l’éternité… Toi mon ange, ma douce, ma reine… Si envoutante, hypnotique, si sereine… Belle comme le coucher de soleil Si belle, parfaite, tu n’as pas ta pareille. Aujourd'hui je suis pensive Tout aller bien puis d'un coup tout c'est fini A notre relation tu à mis fin je ne comprend pas se qui m'arrive Sans aucune explication je n'avais plus de vie Tu es parti sans un mot Alors comment comprendre à qui la faute Depuis se jour j'ai n'ai plus une minute de repos Je me pose mille et une questions sans avoir de réponse Pourtant tout aller pour le mieux enfin je le pensé Hier encore tu me disais je t'aime Mais aujourd'hui de toi je n'ai plus rien comme si j'avais jamais existé Tu ne me donne aucun nouvelle tu ne me réponds plus au téléphone M'a tu déjà rayer de ta vie comme un vieux jouer qui ne t'amusé plus La j'avoue que je sus un peut perdu. Vivre sans toi au départ était trop dur à supporter Mes larmes coulées sans cesse sans que je ne puisse les arrêter Aujourd'hui ton absence me coute encore beaucoup Le temps passe et je ne t'oubli pas et je ne t'oublierais jamais Mes larmes coulent moins mais mon coeur saigne toujours autant. Le temps passe mais ne guéri pas les blessures de mon coeur Cela vas faire un an que tu à disparut de ma vie Mais tu reste toujours présent dans mon coeur. Toi, mon éternel absent, Toi mon ami, mon frère. Mon âme s'envole loin de cette terre Pour s'enrouler autour de ton souvenir. Toi, mon printemps Qui est venu mourir. Il n'y a plus de mots Pour habiter le vide de mes silences. Il ne reste que de vagues échos Pour habiller mon existence. Et pourtant, tu es là, Toujours là et à jamais, Toi, le seul, l'unique, Mon ange de lumière... Depuis cette date je suis devenu un clown triste. Je souris juste pour faire plaisir mais ça ne reste Qu'une façade. J'avance en douceur je pense que c'est par peur . Peur de faire souffrir ceux qui m’entoure. Bon j'arrive à rire parfois Je ne le cache pas je ne suis pas toujours entrain de pleurer je rassure. Mais je reste avec cette étrange sensation celle de ressentir Que je ne suis qu’une coquille vide. En une journée je perdu Tous mes repères, toutes mes envies, en une journée j'ai vue ma vie changé, elle c'est envolé en fumée. J'ai pas comprit ce qui m’arrivé. Tout s'écroule en fait c'est simple c'est comme si j’étais à l'abri Dans ma maison et que d'un seul coup les murs tomber et que Je me retrouve là planté sans comprendre ce qui m’arrivé. Quand sera venu le jour de mon grand départ Je deviendrais ton ange céleste Pour t'aider à ne pas pleurer, mais à sourire Pour te rappeler les bons moments que nous aurions passé De là-haut je surveillerais que tu continue d'aimais Que tes moments de doutes ne sois qu'éphémère Que dans le cœur d'une autre tu retrouve joie de vivre Car mon plus grand bonheur sera de continuer à te voir heureux Et si un jour tu ressens de la tristesse en pensant à moi Lève tes yeux vers le ciel et regarde les étoiles Parmi une d'entre elle une sera la plus belle Ce sera moi qui te sourira et qui te diras combien je t’aime. Mais j'avoue que je ne t'ai pas retenu non plus Maintenant mon cœur restera sans joie Il battra normalement sans superflu. Un jour elle à rencontré son bel ange. Qui par la suite est devenu son bel amour. Aujourd'hui il se trouve parmi mes chers nuages. C'est souvent en silence que je pense à lui et cela durera toujours. Chaque jour sont absence se fait ressentir mais je ne le dit pas. Je fais croire que je l'ai oublié. Mais non il reste là à guider mes pas. Comment pourrais-je ne plus pensée à cet être merveilleux Que j'ai rencontré. C'est vrai que je ne parle plus De lui par choix du sourire des miens. Mais en secret je rêve au jour ou enfin je pourrais lui prendre la main. Souvent je voudrais que tout ceci ne soit qu'un mauvais cauchemar. Mais chaque matin la réalité me rattrape. Jecherche encore un poème d'amour que je ne trouve plus. Je t'aime je t'aime tant, te le dire vraiment . Nécessite du talent car je le dis souvent. J'ai un si grand besoin de te savoir heureux. Que moi je prends bien soin d'allumer tous nos feux. Dans l'eau bleue de tes yeux m'y perdre est délicieux. Toi mon bel amoureux tu éclaires nos cieux. Viennent les doux matins Des petites poèmes d'amour très touchants nous apporte de l'amour sur ses plumes oranges à la gorge... Il se promène dans vos jardins ou même si le froid y est dur, il se promène et sur vos chemins, il vous apporte tous nos mots d'amour... Nous vous souhaitons une agréable journée riche en bons moments et de tendresses...Nous passons souffler quelque poussière de notre amour sur vos têtes, poème d'amour pour elle et pour lui Poème d'amour 2021 Ma main posée ici, sur votre jambe voilée Quel plaisir je vous dis que de sentir la soi Venir faire naître l'envie dans votre ciel étoilé Quel frissons d'ainsi vivre votre douceur sous mes doigts Je ne sens plus qu'en moi le désir qui d'éveil Caresser votre peau sous la dentelle de votre bas Et remonter sur votre cuisse ou vos sens sommeillent Pour atteindre le subtile...Le tissus qui m'émoi Et puis là sous mes doigts...Qui se glissent je devine Quand votre tête en arrière vous chavirez d'un trait Que vos paupières se ferment sous ma caresse divine Que j'effleure sans un bruit le fond de vos pensées... En remontant le fleuve de tes eaux chaudes limpides... J'ai senti venir en moi ta douce chaleur divine Et mon âme dans l'envie de toucher le perfide S'est roulée dans ta peau, ta beauté m'illumine... Mes mains sur la courbe de ta silhouette de femme Caressent, donnent des frissons jusque dans tes soupirs Soudain dans un mouvement ou balance ton âme Mon désir s'oriente ou ton corps veux mourir... Je veux venir en toi pour frôler tes étoiles Redevenir un homme par tes caresses ultimes Traverser l'univers et soulever les voiles T'emmenez dans mon monde, te faire toucher ma cime... Ô monsieur dites-moi! Le saviez-vous Qu'il est des délicieux parfums doux De vos mots gourmands qui m'enivrent Lorsqu'il suffit juste d'un baiser ivre D'un frolement si léger pour que je perde Ma raison, est quitte la terre, accède A la lumière de l'instant ou tel un cristal Mon âme est fragile à l'innombrable Envie de vous dire, simplement encore Oh oui encore! Délectez en moi ce sort Qui me fait valser, tourner tant la tête Et faite-moi chanter, le cœur en fête Pour qu'enfin tout deux dans un duo Se livre nos désirs jusqu'au plus haut Et me fait tout à vous, par votre poésie Me réchauffant de l'hiver à votre soleil qui luit... Poème d'amour touchant pour lui Comment crier tout haut ce que le cœur pense tout bas Comment vous dire ici ce qu'il ressent pour vous Que sans votre présence... Mon être se fane et va En rêvant d'un sourire pour qui je donnerai tout Votre regard si beau m'emporte sur des rivages Ou atteindre votre cœur serait un paradis Qui me ferait voyager vers d'autres paysages J'oublie ainsi ma vie et ces moindres soucis Ce sentiment nouveau qui est naît un été Je voudrais vous le dire comment vous l'annoncer C'est un amour divin qui grandit en secret En ces mots je détiens de cet amour la clé... A la douceur du petit matin d'un hiver ensoleillé Il me reste de la fraîcheur de ma nuit étoilée Une image dans mon regard d'un joli rêve de toi, Sur ma peau la chaleur intense, d'avoir senti tes bras C'est si bon que j'en ai un frisson qui me traverse Comme un murmure empli de toute ta tendresse Quand avec toi, se fige les heures à nous aimer J'aime ressentir en moi cette sensation m'effleurer Quelle douceur ! Quelle caresse ! Et si délicieux Qu'ainsi encore au réveil, s'illuminent mes yeux Par se songe fou ou je nous ai vu étendue Sous mes draps froissés, nos cœurs mis à nue... Ô Sois mon Adam et je serai ta Eve Que je t'invite à croquer avec moi au fruit De mon amour savoureux, tous ces rêves Ou sous l'emprise de ma chair sans bruit Nous serons l'un pour l'autre le reflet Des couleurs d'un fol désir en feu Sous l'étincelle à venir pour toi éclairer Le jardin secret en fleur de mes reins soyeux Sous la brume nue de ton corps lové Contre moi, donnant à tes sens des ailes Jusqu'à esquisser sous la lune blanche teintée La jouissance d'un unique plaisir éternel... Se joue en moi, ce bien drôle de plaisir Que vous venez effleurer mes contours Au délice de suivre ses perles, à les cueillir Sous votre œil, traçant tous mes atours... Telle une soif vitale de vous inviter à tatillonner L'enfer de ses plus doux péchés en flamme Si fragile et à la fois subtil, déployer ses secrets Où votre désir serait prisonnier de mon âme... Qu'afin se dessine l'impalpable, de vos rêves A charmer l'horizon de ma peau parfumée Dites quand reviendrez-vous enfin tisser la sève De votre amour, sur sa toile pour l'en imbiber... Poème d'amour touchant pour elle Déshabille-moi mon amour Et vient sur mon corps nu poser Tes caresses éffleurant tour à tour Le grain de ma peau de rosé Laisse venir en moi tous tes contours Les soleil de ton âme embrumée Dans chacun de tes souffles cours Je tombe en toi pour m'y noyer Déshabille-toi mon amour Et rejoins-moi par tes pensées Je te donnerai mes gestes pour Te faire plus profond voyager Laisse mon cœur en toi qui parcourt Le labyrinthe de tes allées Et prendre notre secret en détour Pour t'emporter à tout jamais ... Laissez-moi vous dire également quel plaisir Quand s'éveille tout en moi follement ainsi Sous vos caresses si douces et oser à fremir A me donner toujours et encore de vous envie Pour me faire vivre à l'infinie, la même passion Celle fleurissante sous la furie de vos mains Quand elles glissent juste là sans modération Pour toucher sous ma dentelle mon doux satin... Dans chaque cœur qui respire une flamme brûle et s’étire Dans chaque être qui soupire au centre de notre empire Il reste encore de la place au grès du temps qui passe Suffisamment d’espace entre nos bras qui brassent De l’amour et des fleurs pour faire fuir les malheurs Surtout les maux du cœur qui nous emportent ailleurs Les secrets d’une vie dans des larmes et des cris Écrivons nos envies passons nos interdits A effleurer la peau, passer sur les contours On oublie l’essentiel, en nos âmes troubadour Car nos minutes courent ne serait-ce qu’un jour A suspendre sans détours nos sentiments d’amour… Face à toi, je fais totalement immersion Tu deviens ma belle source d'inspiration Où sous ma peau je sens cette pression Dans mon cœur, à chacune des pulsions Qui me brûle d'un désir de toi, d'une passion Et réveil en moi une bien étrange sensation... Chutt! ecoute! L'entends-tu cette douce émotion? Me jouant une sérénade d'amour à profusion... Sens-tu ce souffle court, poser au tréfond De ton âme mes mots envolés sous ton horizon Là où mon soleil luit, déposer au plus profond De tes yeux marrons un à un tous mes frisson... Laisse-moi plonger en toi Et atteindre ton plaisir Frémir entre tes doigts Qui ne peut plus me fuir Posséder sous ta peau Ce désir de jouir D’exprimer comme le mot Aimer qui veut fleurir Dans le noir de la nuit Voir ton étoile briller Ne plus être que celui Qui flotte dans tes pensées Je te donnerai mon être Qui viendra caresser Un sentiment peut être Celui d’être libéré De voyager ailleurs Et de ne plus souffrir Ne plus compter les heures Et me laisser mourir. Sais tu ô combien d'effet tu as sur moi ? Combien dans tes bras tu me procures l'émoi Tant et tant de frisson, sur ma peau émue A la faire rougir, l'extase que tu me donnes, le sais tu ? Et lorsque collé contre ton torse j'aime sentir Ton coeur battre à mille à l'heure de désir... Contre moi, qu'il est bon d'entendre sa cadence S'accélérer d'envie d'être tienne, sous la démence De tous tes gestes tendres, humm comme j'adore Venir me cambrer sous tes mains, mon corps Dès lors que ton souffle saccadé dans mon cou Me murmure des je t'aime, et tes mots fous Que penser à toi, je rêve de venir courir me jetter Dans tes bras et te dire fais de moi ce qu'il te plait Fais moi prisonnière, enchaîne-moi, aime-moi Pour t'offrir ma douceur, mon amour sans loi... Poème écrit en Duo lui et elle _Quand sur ton lit défait, j'avance entre tes jambes Laissant toutes mes pensées derrière moi un instant Mon regard dans le tien, ma bouche devient gourmande De respirer l'envie de cueillir ton printemps. _Mon cœur s’irradie à te sentir t'approcher Avec cette certitude je veux figer le temps Et sans appréhension, de moi tout te donner Pour ainsi avec toi toucher le firmament... _Mon cœur tremble jusqu'au bout de mes mains La peur se répand à l'approche de ta peau, encore… Effleurant le vent sous la pureté de ton divin Je veux faire naitre en toi la rose qui voudrait éclore. _Viens ! Encore plus près, oh oui là contre moi N'aies pas peur mon amour, laisse-moi te guider Pour la faire éclore en moi, et te faire enfin mon roi Sous ma douceur de femme, et tout deux voyager... _ Je sens venir en moi ta douceur m’envoûter Le parfum de ton corps qui m’enivre et me fait Éveiller tout mon être ou maintenant souhaites entrer Tous mes désirs profonds que je ne peux contrôler… _Entre-les et sans fin accentue mon plaisir Je veux sentir ton ardeur, atteindre l'extase Et gravir le plus haut sommet à chaque soupir Sous le flux de tes battements, être en phase _D’un geste timide et tendre je viens donc t’ôter Tous ces vêtements qui ont un pouvoir séducteur Cette enveloppe de dentelle qui descend à mes pieds Laisse-moi couvrir ton âme du toucher de mon cœur…
\n\n \n poeme je te quitte pour ne plus souffrir
poème ne me quitte pas, bonny jean baptiste. poésie française est à la fois une anthologie de la poésie classique, du moyenâge au début du xxème ta dernière lettre m'a laissé bien triste, de ces sentiments émergents à fleur de peau mais Hors ligne 6 Octobre 2018 Il ne me reste plus que ma plume pour vous dire…​De jour comme de nuit Ton si beau visage Dans mes pensées voyage Je n’arrive plus à avancer L’image de l’être tant aimé Me hante au plus profond De mon âme On dit que le temps Doit apaiser la souffrance Mais de jour en jour Elle ne fait que grandir Même si tu me fais beaucoup souffrir Je ne pourrai jamais t’oublier, ni te haïr Car tu m’as offert un bonheur Qui n’a pas de prix Mon cœur est meurtri Qu’il soit fini Je ne peux l’effacer Écrit sur papier doré A l’encre de mon sang Emporté par le vent Mon âme perdue dans La douleur de l’absence J’aimerais tellement Revenir en arrière Pour y retrouver Cette complicité D’une si pure amitié Mon rêve ne sera Jamais une réalité Personne ne pourra te remplacer Ton prénom restera gravé Dans mon cœur pour l’éternité. 2014​ Hors ligne 6 Octobre 2018 Des souffrances qui prouvent que vous êtes bien vivante. merci pour ce texte touchant. belle journée michel Hors ligne 6 Octobre 2018 Des souffrances qui prouvent que vous êtes bien vivante. merci pour ce texte touchant. belle journée michel Merci à toi d'être venu me lire cher poète Hors ligne 6 Octobre 2018 Ton si beau visage Dans mes pensées voyage Je n’arrive plus à avancer Mon passage préféré ...il me parle il me crie ... et me torture Quel beau poème ... nostalgique ... romantique c'est la voix d'un coeur ... Hors ligne 6 Octobre 2018 Mon passage préféré ...il me parle il me crie ... et me torture Quel beau poème ... nostalgique ... romantique c'est la voix d'un coeur ... MERCI pour ton gentil commentaire Hors ligne 6 Octobre 2018 Quand l'autre nous quitte il emmène une part de soi ... et l'on peut ressentir n'être plus Personne. Un écrit émouvant qui nous rappelle que parfois aimer est douloureux. Merci pour ce partage et belle journée Amitiés Pierre Hors ligne 6 Octobre 2018 Quand l'autre nous quitte il emmène une part de soi ... et l'on peut ressentir n'être plus Personne. Un écrit émouvant qui nous rappelle que parfois aimer est douloureux. Merci pour ce partage et belle journée Amitiés Pierre C'est tout à fait ça, merci de ta visite cher poète Hors ligne 6 Octobre 2018 Un beau poème, touchant. J'espère sincèrement que depuis ans, cette douleur de l'absent s'atténue. Belle journée ensoleillée. amitiés. Hors ligne 6 Octobre 2018 Un beau poème, touchant. J'espère sincèrement que depuis ans, cette douleur de l'absent s'atténue. Belle journée ensoleillée. amitiés. Oui elle s'est atténuée, mais mon ami est toujours dans mes pensées Dernière édition 9 Octobre 2018 Hors ligne 6 Octobre 2018 en effet une belle plume qui s'est exprimée sur ses propres regrets mais aussi sur le temps passé et l'amour respiré. un écrit rétrospectif affectif et très affectif j'aime bien mes amitiés Hors ligne 6 Octobre 2018 en effet une belle plume qui s'est exprimée sur ses propres regrets mais aussi sur le temps passé et l'amour respiré. un écrit rétrospectif affectif et très affectif j'aime bien mes amitiés Merci Cher poète pour ton gentil commentaire Bonne journée Personne Hors ligne 6 Octobre 2018 oui Personne la souffrance de l'absent qu'il soit d'amour ou d'amitié est fortement ancrée dans le coeur et l'on se souvient de chaque moment partagé sur l'autel amour amitié très beau poème qui me parle bien merci de ce beau partage micalement Hors ligne 6 Octobre 2018 oui Personne la souffrance de l'absent qu'il soit d'amour ou d'amitié est fortement ancrée dans le coeur et l'on se souvient de chaque moment partagé sur l'autel amour amitié très beau poème qui me parle bien merci de ce beau partage micalement MERCI pour ta visite chère Gabrielle qui me très plaisir à chaque fois Hors ligne 6 Octobre 2018 Avec ta plume, il te reste les souvenirs que tu as su très bien nous transcrire !! merci pour ce partage amitié et bisous carlame Merci Chère Carlame, toujours un plaisir de te voir chez moi et comme tu dis il reste les doux souvenirs Bonne soirée Bisous Personne Hors ligne 6 Octobre 2018 Il ne me reste plus que ma plume pour vous dire…​ De jour comme de nuit Ton si beau visage Dans mes pensées voyage Je n’arrive plus à avancer L’image de l’être tant aimé Me hante au plus profond De mon âme On dit que le temps Doit apaiser la souffrance Mais de jour en jour Elle ne fait que grandir Même si tu me fais beaucoup souffrir Je ne pourrai jamais t’oublier, ni te haïr Car tu m’as offert un bonheur Qui n’a pas de prix Mon cœur est meurtri Qu’il soit fini Je ne peux l’effacer Écrit sur papier doré A l’encre de mon sang Emporté par le vent Mon âme perdue dans La douleur de l’absence J’aimerais tellement Revenir en arrière Pour y retrouver Cette complicité D’une si pure amitié Mon rêve ne sera Jamais une réalité Personne ne pourra te remplacer Ton prénom restera gravé Dans mon cœur pour l’éternité. 2014​ Les douleurs de l'amour sont les plus douloureuses mais aussi les plus belle,,Bravo pour ce poème j'aime beaucoup o Maître poète Hors ligne 6 Octobre 2018 Les blessures de l'amour ne guérissent jamais ... Merci pour ce poème très émouvant, Personne ! sincèrement Rose *** Hors ligne 7 Octobre 2018 Les douleurs de l'amour sont les plus douloureuses mais aussi les plus belle,,Bravo pour ce poème j'aime beaucoup MERCI Plume bleue Hors ligne 7 Octobre 2018 Les blessures de l'amour ne guérissent jamais ... Merci pour ce poème très émouvant, Personne ! sincèrement Rose *** MERCI Rose pour ton commentaire Hors ligne 7 Octobre 2018 Le déchirement de la perte d'un être aimé, il est toujours douloureux de se dire ne jamais le revoir. Mais il reste les souvenirs qui continuent à ne pas nous oublier. Amitié, Corinne

Jene souffre plus, mon corps me laisse enfin le repos tant demandé, fini le tourment, finis ces soins tellement désobligeants pour ma fierté. Je me repose sans douleur, sans contrainte, Je n’ai pas de colère, je ne regrette rien. Je vous quitte, mais je reste dans vos mémoires, Pensez à moi souvent, mais ne soyez pas attristés

17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 2348 Ta dernière lettre m'a laissé bien triste, De ces sentiments émergents à fleur de peau Mais pas question pour moi de baisser le rideau C'est toi que je veux ma belle artiste ! Chaque jour tu recevras mes bouquets de fleurs, Recevras mes mots doux aussi, brûlants De mon amour aux cris toujours hurlants, Je te promets des étincelles étoilées de bonheur Ton sourire reste gravé à l'infini Dans ma mémoire de clown triste, Si tu ne reviens pas et que j'insiste Ne me rejette pas, garde moi en ami. Mais ce n'est pas d'amitié dont j'ai besoin, Ce sont tes yeux qui me dévisagent, Tes mains qui quelquefois pas très sages Prendront ma taille avec le plus grand soin. Ne me quitte pas s'il te plaît, Le temps passe trop vite et tu es si loin, L'espace s'est vidé, a trop vite éteint Ma flamme qui m'a fait sombrer. Ton visage plaque mes pensées, fige Le reste de mes précieux souvenirs, Ne me quitte pas s'il te plaît, pour l'avenir, Cette vie à deux qui me donne le vertige. Published by Topirate - dans POEMES
Toiqui m'avais appris à aimer, Mais aussi à souffrir, Tu as surtout su me faire pleurer, Même si tu savais aussi me faire rire. Je ferme donc l'accès qui mène à toi, Je ferme les portes car je n'ai plus la foi, Aimer n'y a t-il rien de pire, Ne serait-ce pas mieux d'en finir. Alors voilà ma décision est prise, Sur moi tu n'auras plus d'emprise, Ne plus te laisser décider voilà ce
Poèmes d'amour tristes Tu m'emmènes ...?? Emmène-moi............aux bras du ciel Éclaire mon chemin...laisse-moi aller.. Prends le temps de me rendre éternelle... Je finirai là où j'ai commencé... Guide-moi et d'un air solennel Donne-moi ta main... tu sauras me guider ... Chacun de tes mots d'amour, écoute les silences.... Ils sont au prise de leur intuition Ils se voudraient indifférence.... Mais ils accélèrent à l'inspiration Chacun de tes gestes est souffrance Mon moi est en révolution.... ... Emporte mon âme, elle est si rebelle Éclaire la route, du bout de l'allée... Illumine ma nuit du bout du ciel.... Ce voyage, du monde des fous à lier.. Ni demain,ni la semaine ancienne ou réelle Ne finira dans la réalité ... Poèmes d'amour tristes Pourras-tu me répondre ??? Que me dirais-tu mon ami , si demain, oui, j'arrivais ? Que me dirais-tu si jamais on se parlait pour de vrai Quelle serait notre réaction devant la trop vraie réalité ? Que serait ce premier geste pouvant nous amadouer ? ... Tu es loin, si loin ! Tellement trop loin, de mon pays Est-ce que tu écouterais de mon coeur tous les cris ? J'aimerais tant que nous prenions alors un bon café Que tu me donnes la main; que tu saches me guider... ... Ami, je me suis perdue dans la traitrise des liens Les gens sont tellement de vrais parfaits comédiens Il y a en moi, une blessure profonde en la confiance Est-ce que je peux encore oser prendre une chance ? ... Allons lentement, le visage au vent, yeux asséchés Voyons ce que la vie, ou le temps nous a préservé Il me semble te connaître sans mots je sais ta vie Toi tu sais déjà ces mots par lesquels on communie ... ... Veux-tu, dis-moi en toute sincérité, s'il te serait bon Que je commence à nous décrire le bâtir d'un pont Quand il serait terminé nous franchirions cet au-delà La distance effacée, nous cheminerions pas à pas ... ... À bientôt mon ami !!! Poèmes d'amour tristes Regarde en toi !!! . Et Dieu te parle de tes blessures . Tu sais, il y a des choses dans la vie Qui ne naissent que dans l'eau, les larmes et le sang . Ainsi naissent, une perle, un enfant, un couple, une famille .... ..... ... Verlaine n'a-t-il point crié " Ô mon Dieu , vous m'avez blessé d'amour. Et la blessure est encore vibrante . " Ô mon Dieu,vous m'avez blessé d'amour . Et la blessure est encore là qui tonne." ... . ... *****Et Dieu de te répondre . Regarde ta propre blessure elle est là en toi ! Accueille-la . Chéris-la . N'aies pas peur. Partage ta faiblesse, ainsi tu partageras ton amour, Ce qu'il y a de plus secret en toi, De plus mystérieux et aussi de plus beau . Ta blessure doit s'ouvrir Pour laisser place à la tendresse Comme les nuages se dissipent Pour laisser percer le soleil . La blessure, en effet, Creuse un lit, un creux, un espace intérieur Où peut circuler la vie, le bonheur, l'Esprit . . . . Ta blessure, se fera amour . . . Poèmes d'amour tristes DIS - MOI SERAS - TU LÀ ? .......... Dis-moi, dis est -ce que tu saurais me tendre la main ? Aide-moi, je t'en prie, j'ai perdu mes tendres repères J'ai prié ... et je pleure personne n'entend ma prière Viens m'aider, je crains qu'il y ait une fin à ce chemin. J'ai froid! J'ai tellement peur d'être déjà morte demain J'ai à traverser sans me noyer, cette trop large rivière Je t'en prie,il faudrait me dire tout ce que je dois faire S'il- te- plaît guide-moi ! Mon ami,éclaircit mon destin ... Comme une reine qui attend le chant, de son baladin Je cherche des yeux une lueur de ma joie qui espère Il me faut chasser au loin tous mes souvenirs amers Mais ma mémoire se joue de moi, et, revient sans fin Elle combat rires et joies par de monstrueux chagrins Dis-moi, est-ce que ma vie te trouvera. sans mystère ? Redis-moi tous ces mots, qui effaceront cette misère Souviens-toi je sera là aux premières lueurs du matin ... ... Je ne sais pas comment je me présenterai si soudain J'ai trop nagé, et que fatiguée je ne sais pas que faire ... Et puis, je me débâts, dans ces flots qui désespèrent Saurais-tu m'aider et m'éclairer, tous mes lendemains ? Écris-moi les mots que j'attends sur papier parchemin J'irai les lire, un doux soir, sous de beaux reverbères Bien entendu, je me croirai encore revenue en arrière ... Mais dis-moi en premier sauras-tu me tendre ta main? Poèmes d'amour tristes Oui, un nouveau jour se lève Un soleil neuf éclaire notre rêve. Lève toi de ce banc de solitaire Viens te réchauffer contre mon cœur. ...... Écoute ma voix déclamer les vers D'un poète dont le jardin en fleurs Attend depuis la nuit des temps Que tu viennes partager son printemps. ...... Fini de construire notre pont Je suis déjà debout sur le ponton Et vais de ce pas m'y engager Pour te rejoindre sur la rive opposée. ....... J'ai oublié mes peines, séché mes pleurs Je te rejoint enfin sans peur Mais écoute mon silence qui te conte Les secrets de notre entente. ..... Plus de larmes, de douleurs, plus de cris Nous sommes ensemble aujourd'hui Suivons le chemin qui mène à notre union Ce ne peut être autre que ce pont. ..... Il prend de plus en plus forme Chaque jour qui nous réunis Et peu à peu nous transforme En une seule et unique vie. Poèmes d'amour tristes Le pont...~~~ *** Je travaille toujours à bâtir notre pont ... Ces 2 mondes qui aujourd'hui nous séparent ... Un jour,après-demain, se réuniront .... J'arriverai un autre jour à cette gare.... Ainsi le veut, toutes les chansons .. Ainsi , le chante l'amour qui se prépare Je suis avec toi ... à l'unisson .... Regarde bien, regarde, je pars ... *** Si entre nous le chemin est grand ... C'est presque rien qui nous relie ... Nos deux mondes sont si différents ... Attends-moi ... j'ai bien compris ... Ce que nos yeux ne voient pas vraiment Mon coeur le sait ... mon coeur le sent d'ici Mais j'oublie si souvent, trop souvent .... N'oublie pas moi, je t'ai promis ..... *** Je tisse un pont invisible et long ... Pour aimer et venir vers toi ... Je suis sur la route, je fonce au front Je n'aime toujours que toi ... Parfois je fais quelques bonds ... Je cours, je cours vers toi .... Je te vois, tu es là dans mon horizon ... Accueille-moi ... contre toi ... garde-moi .... *** Au loin ... j'entends à peine .... Tous ces gens ... tous ces étrangers ... Un jour .... parmi nos centaines ... Nous arriverons ... pour nous rencontrer ... Ce sang circulant dans mes veines Ne veut venir que pour t'Aimer .... Un jour, une nuit, chose certaine ... J'arriverai .... je saurai t'aimer ..... ......... On dirait que je regarde un nouveau jour, se lever Je crains qu'il ne se lève pour rien, une autre fois En fait, j'ignore en mon être ce qui pourrait arriver Vraiment je me sens perdue dans un sous- bois ..... J'ai froid ! Je viens de trouver un banc de solitaire Je vais aller m'y reposer! Je n'entends pas ta voix .... Il est là à l'abri! Le pont pour y aller juste la pierre Le silence ! Même l'écho ne te ramène pas à moi ..... Es-tu à pleurer et sur ton coeur et sur tes peines ? Je me sens abandonnée !Trop seule aujourd'hui .. Conte-moi tout bas les secrets qui sont en scène Dis-moi tes larmes! Dis-moi tes douleurs,tes cris .. ..... Aide-moi à bâtir ce chemin menant à notre union Je ne veux pas me retrouver sur un sens unique ... Il te faut être là pour m'aider à bâtir tous ces ponts Toi et moi....nos vies pourraient être si magiques ..... Viens ! Ose-le ce pas ! Allons de l'avant tu veux? Je t'offre tout de moi ! Même mes désirs obscurs Fais un pas, un tout petit pas ! Tu seras heureux .. . Avance un peu ! Mon pont peut vaincre tes murs .... Ne pleure pas voici le vrai message des cieux ***** Ne pleure pas sur ce que tu as perdu, .......................................... lutte pour ce que tu as. Ne pleure pas sur celui qui est mort, ................................ lutte pour ce qui est né en toi. Ne pleure pas sur qui t’a abandonné, ...............................lutte pour celui qui est avec toi. Ne pleure pas sur celui qui te hait, .......................................lutte pour celui qui t’aime. Ne pleure pas sur ton passé, ............................................lutte pour ton présent. Ne pleure pas sur ta souffrance, ...........................................lutte pour ton bonheur. Ne pleure pas pour ce que demain sera ...............................lutte pour ta confiance et ta foi. Avec toutes les choses que nous vivons, ...........................................nous apprenons que .......... TOUT PROBLÈME A SA SOLUTION........... ..... Il te faut simplement aller de l’avant !!! »».. Gitane... dis-moi ma folie ...crie Gitane... comment va ma vie...?? Gitane... como mi vida es asi ... ? Que dois-je faire de cette vie ....? Chante pour moi, une rapsodie Invente toutes ces notes qui supplient Gitane... guide-moi dans ma folie Il est là ... je t'en supplie !!! Danse avec moi ,Gitane chérie Les tambourins... font tant de bruits... Je veux assouir mes envies ... Les violons transpercent ma nuit ... Gitane garde-moi.... tu es toujours ma Vie Berce-moi.... de tout mon ennui... Tue en moi, mes chants meurtris... J'ai trop mal de LUI ... Gitane, hurle-moi qui je suis Hurle-le lui .... moi, c'est fini Je ne parle plus je fuis ... Viens danser je veux l'oubli ....
Phonétique(Cliquez pour la liste complète): caca cacao cacaos cacaoté cacas cagot cahot cahoté caïd caïeu caïque caïques cake cakes caoua caouas caqua caquai caquais caquait caquas caquât caque caqué caquée caquées caques caqués caquet caqueté cas casé Cau causé CC cc cécité CO coaccusé coca cocas côcha côchai côchais côchait côchas côchât côche côché Hors ligne 13 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chéri de t'aimer Ma douce éternité Cette nuit j'ai révé A tes baisers sucrés Je t'ai donné mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes désirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai écrit mon amour Je l'ai fait sans détour Tu as crié ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​ CARLAME Invité Hors ligne Hors ligne 13 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chéri de t'aimer Ma douce éternité Cette nuit j'ai révé A tes baisers sucrés Je t'ai donné mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes désirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai écrit mon amour Je l'ai fait sans détour Tu as crié ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​Douceur et amour , de magnifiques vers Gaby!😊 Hors ligne 13 Juillet 2019 Douceur et amour , de magnifiques vers Gaby!😊 Merci Véronique pour ton ressenti Bonne journée Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 Merci Carlame de ton passage marqué Bonne journée Amicalement Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 Agréable lecture de bon matin, merci Gaby Merci personne et bonne journée Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 Merci personne et bonne journée Gaby Bon samedi Gaby o Maître poète Hors ligne 14 Juillet 2019 coucou ma Gaby Quelle tendresse en toi ! A chaque fois tes sentiments me touchent ! Gros bisous de ta Rose * qui ne regarde poo le défilé hé hé ! o Maître poète Hors ligne 14 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chéri de t'aimer Ma douce éternité Cette nuit j'ai révé A tes baisers sucrés Je t'ai donné mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes désirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai écrit mon amour Je l'ai fait sans détour Tu as crié ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​ Hors ligne 14 Juillet 2019 coucou ma Gaby Quelle tendresse en toi ! A chaque fois tes sentiments me touchent ! Gros bisous de ta Rose * qui ne regarde poo le défilé hé hé ! Moi je l'ai regardé ma rose. Merci pour ta gentille appréciation tendresse ma rose gros bisous Ta gaby Hors ligne 14 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chéri de t'aimer Ma douce éternité Cette nuit j'ai révé A tes baisers sucrés Je t'ai donné mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes désirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai écrit mon amour Je l'ai fait sans détour Tu as crié ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​pour quelle raison voulez vous souffrir gentille Gaby, prenez chaque jour de bonheur que la vie vous offre, déguster la, profitez-en , soyez heureuse et ne pensez pas aux jours tristes! votre Éole prend des forces, il grandit, il a beaucoup de pletites plumes sur ses jambres et jusque sur ses pattes, c'est un Marans Gris, ce sera un beau coq! Hors ligne 14 Juillet 2019 pour quelle raison voulez vous souffrir gentille Gaby, prenez chaque jour de bonheur que la vie vous offre, déguster la, profitez-en , soyez heureuse et ne pensez pas aux jours tristes! votre Éole prend des forces, il grandit, il a beaucoup de pletites plumes sur ses jambres et jusque sur ses pattes, c'est un Marans Gris, ce sera un beau coq! Merci Emie pour ton appréciation mais ce n'est qu'un poème Et merci pour les petites nouvellestructures d'Eole .Gaby
voilatous sur ma vie des poème et des chevaux que j'aime tant !!!!! Les poème. Centerblog. Articles; Blogs; Images; Partager sur Facebook Partager sur Twitter. Rechercher. Gérer mon blog. Ajouter en ami. A propos de ce blog. Nom du blog : mel0259 Description du blog : voila tous sur ma vie des poème et des chevaux que j'aime tant !!!!! Catégorie : Blog Photo Date de création :
60 poèmes <13456Phonétique Cliquez pour la liste complète ! ; ? à ah çà ha haï hâté hi ho hué thé yé-yé entaient entant entend entendaient entendais entendait entendant entende entendement entendements entendent entendes entendeur ... Frappe encor, Jupiter, accable-moi, mutile L'ennemi terrassé que tu sais impuissant ! Écraser n'est pas vaincre, et ta foudre inutile S'éteindra dans mon sang, Avant d'avoir dompté l'héroïque pensée Qui fait du vieux Titan un révolté divin ; C'est elle qui te brave, et ta rage insensée N'a cloué sur ces monts qu'un simulacre vain. Tes coups n'auront porté que sur un peu d'argile ; Libre dans les liens de cette chair fragile, L'âme de Prométhée échappe à ta fureur. Sous l'ongle du vautour qui sans fin me dévore, Un invisible amour fait palpiter encore Les lambeaux de mon cœur. Si ces pics désolés que la tempête assiège Ont vu couler parfois sur leur manteau de neige Des larmes que mes yeux ne pouvaient retenir, Vous le savez, rochers, immuables murailles Que d'horreur cependant je sentais tressaillir, La source de mes pleurs était dans mes entrailles ; C'est la compassion qui les a fait jaillir. Ce n'était point assez de mon propre martyre ; Ces flancs ouverts, ce sein qu'un bras divin déchire Est rempli de pitié pour d'autres malheureux. Je les vois engager une lutte éternelle ; L'image horrible est là ; j'ai devant la prunelle La vision des maux qui vont fondre sur eux. Ce spectacle navrant m'obsède et m'exaspère. Supplice intolérable et toujours renaissant, Mon vrai, mon seul vautour, c'est la pensée amère Que rien n'arrachera ces germes de misére Que ta haine a semés dans leur chair et leur sang. Pourtant, ô Jupiter, l'homme est ta créature ; C'est toi qui l'as conçu, c'est toi qui l'as formé, Cet être déplorable, infirme, désarmé, Pour qui tout est danger, épouvante, torture, Qui, dans le cercle étroit de ses jours enfermé, Étouffe et se débat, se blesse et se lamente. Ah ! quand tu le jetas sur la terre inclémente, Tu savais quels fléaux l'y devaient assaillir, Qu'on lui disputerait sa place et sa pâture, Qu'un souffle l'abattrait, que l'aveugle Nature Dans son indifférence allait l'ensevelir. Je l'ai trouvé blotti sous quelque roche humide, Ou rampant dans les bois, spectre hâve et timide Qui n'entendait partout que gronder et rugir, Seul affamé, seul triste au grand banquet des êtres, Du fond des eaux, du sein des profondeurs champêtres Tremblant toujours de voir un ennemi surgir. Mais quoi ! sur cet objet de ta haine immortelle, Imprudent que j'étais, je me suis attendri ; J'allumai la pensée et jetai l'étincelle Dans cet obscur limon dont tu l'avais pétri. Il n'était qu'ébauché, j'achevai ton ouvrage. Plein d'espoir et d'audace, en mes vastes desseins J'aurais sans hésiter mis les cieux au pillage, Pour le doter après du fruit de mes larcins. Je t'ai ravi le feu ; de conquête en conquête J'arrachais de tes mains ton sceptre révéré. Grand Dieu ! ta foudre à temps éclata sur ma tête ; Encore un attentat, l'homme était délivré ! La voici donc ma faute, exécrable et sublime. Compatir, quel forfait ! Se dévouer, quel crime ! Quoi ! j'aurais, impuni, défiant tes rigueurs, Ouvert aux opprimés mes bras libérateurs ? Insensé ! m'être ému quand la pitié s'expie ! Pourtant c'est Prométhée, oui, c'est ce même impie Qui naguère t'aidait à vaincre les Titans. J'étais à tes côtés dans l'ardente mêlée ; Tandis que mes conseils guidaient les combattants, Mes coups faisaient trembler la demeure étoilée. Il s'agissait pour moi du sort de l'univers Je voulais en finir avec les dieux pervers. Ton règne allait m'ouvrir cette ère pacifique Que mon cœur transporté saluait de ses vœux. En son cours éthéré le soleil magnifique N'aurait plus éclairé que des êtres heureux. La Terreur s'enfuyait en écartant les ombres Qui voilaient ton sourire ineffable et clément, Et le réseau d'airain des Nécessités sombres Se brisait de lui-même aux pieds d'un maître aimant. Tout était joie, amour, essor, efflorescence ; Lui-même Dieu n'était que le rayonnement De la toute-bonté dans la toute-puissance. O mes désirs trompés ! O songe évanoui ! Des splendeurs d'un tel rêve, encor l'œil ébloui, Me retrouver devant l'iniquité céleste. Devant un Dieu jaloux qui frappe et qui déteste, Et dans mon désespoir me dire avec horreur Celui qui pouvait tout a voulu la douleur ! » Mais ne t'abuse point ! Sur ce roc solitaire Tu ne me verras pas succomber en entier. Un esprit de révolte a transformé la terre, Et j'ai dès aujourd'hui choisi mon héritier. Il poursuivra mon œuvre en marchant sur ma trace, Né qu'il est comme moi pour tenter et souffrir. Aux humains affranchis je lègue mon audace, Héritage sacré qui ne peut plus périr. La raison s'affermit, le doute est prêt à naître. Enhardis à ce point d'interroger leur maître, Des mortels devant eux oseront te citer Pourquoi leurs maux ? Pourquoi ton caprice et ta haine ? Oui, ton juge t'attend, - la conscience humaine ; Elle ne peut t'absoudre et va te rejeter. Le voilà, ce vengeur promis à ma détresse ! Ah ! quel souffle épuré d'amour et d'allégresse En traversant le monde enivrera mon cœur Le jour où, moins hardie encor que magnanime, Au lieu de l'accuser, ton auguste victime Niera son oppresseur ! Délivré de la Foi comme d'un mauvais rêve, L'homme répudiera les tyrans immortels, Et n'ira plus, en proie à des terreurs sans trêve, Se courber lâchement au pied de tes autels. Las de le trouver sourd, il croira le ciel vide. Jetant sur toi son voile éternel et splendide, La Nature déjà te cache à son regard ; Il ne découvrira dans l'univers sans borne, Pour tout Dieu désormais, qu'un couple aveugle et morne, La Force et le Hasard. Montre-toi, Jupiter, éclate alors, fulmine, Contre ce fugitif à ton joug échappé ! Refusant dans ses maux de voir ta main divine, Par un pouvoir fatal il se dira frappé. Il tombera sans peur, sans plainte, sans prière ; Et quand tu donnerais ton aigle et ton tonnerre Pour l'entendre pousser, au fort de son tourment, Un seul cri qui t'atteste, une injure, un blasphème, Il restera muet ce silence suprême Sera ton châtiment. Tu n'auras plus que moi dans ton immense empire Pour croire encore en toi, funeste Déité. Plutôt nier le jour ou l'air que je respire Que ta puissance inique et que ta cruauté. Perdu dans cet azur, sur ces hauteurs sublimes, Ah ! j'ai vu de trop près tes fureurs et tes crimes ; J'ai sous tes coups déjà trop souffert, trop saigné ; Le doute est impossible à mon cœur indigné. Oui ! tandis que du Mal, œuvre de ta colère, Renonçant désormais à sonder le mystère, L'esprit humain ailleurs portera son flambeau, Seul je saurai le mot de cette énigme obscure, Et j'aurai reconnu, pour comble de torture, Un Dieu dans mon Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 968 votesLa trompette a sonné. Des tombes entr'ouvertes Les pâles habitants ont tout à coup frémi. Ils se lèvent, laissant ces demeures désertes Où dans l'ombre et la paix leur poussière a dormi. Quelgues morts cependant sont restés immobiles ; Ils ont tout entendu, mais le divin clairon Ni l'ange qui les presse à ces derniers asiles Ne les arracheront. Quoi ! renaître ! revoir le ciel et la lumière, Ces témoins d'un malheur qui n'est point oublié, Eux qui sur nos douleurs et sur notre misère Ont souri sans pitié ! Non, non ! Plutôt la Nuit, la Nuit sombre, éternelle ! Fille du vieux Chaos, garde-nous sous ton aile. Et toi, sœur du Sommeil, toi qui nous as bercés, Mort, ne nous livre pas ; contre ton sein fidèle Tiens-nous bien embrassés. Ah! l'heure où tu parus est à jamais bénie ; Sur notre front meurtri que ton baiser fut doux ! Quand tout nous rejetait, le néant et la vie, Tes bras compatissants, ô notre unique amie ! Se sont ouverts pour nous. Nous arrivions à toi, venant d'un long voyage, Battus par tous les vents, haletants, harassés. L'Espérance elle-même, au plus fort de l'orage, Nous avait délaissés. Nous n'avions rencontré que désespoir et doute, Perdus parmi les flots d'un monde indifférent ; Où d'autres s'arrêtaient enchantés sur la route, Nous errions en pleurant. Près de nous la Jeunesse a passé, les mains vides, Sans nous avoir fêtés, sans nous avoir souri. Les sources de l'amour sous nos lèvres avides, Comme une eau fugitive, au printemps ont tari. Dans nos sentiers brûlés pas une fleur ouverte. Si, pour aider nos pas, quelque soutien chéri Parfois s'offrait à nous sur la route déserte, Lorsque nous les touchions, nos appuis se brisaient Tout devenait roseau quand nos cœurs s'y posaient. Au gouffre que pour nous creusait la Destinée Une invisible main nous poussait acharnée. Comme un bourreau, craignant de nous voir échapper, A nos côtés marchait le Malheur inflexible. Nous portions une plaie à chaque endroit sensible, Et l'aveugle Hasard savait où nous frapper. Peut-être aurions-nous droit aux celestes délices ; Non ! ce n'est point à nous de redouter l'enfer, Car nos fautes n'ont pas mérité de supplices Si nous avons failli, nous avons tant souffert ! Eh bien, nous renonçons même à cette espérance D'entrer dans ton royaume et de voir tes splendeurs, Seigneur ! nous refusons jusqu'à ta récompense, Et nous ne voulons pas du prix de nos douleurs. Nous le savons, tu peux donner encor des ailes Aux âmes qui ployaient sous un fardeau trop lourd ; Tu peux, lorsqu'il te plaît, loin des sphères mortelles, Les élever à toi dans la grâce et l'amour ; Tu peux, parmi les chœurs qui chantent tes louanges, A tes pieds, sous tes yeux, nous mettre au premier rang, Nous faire couronner par la main de tes anges, Nous revêtir de gloire en nous transfigurant. Tu peux nous pénétrer d'une vigueur nouvelle, Nous rendre le désir que nous avions perdu… Oui, mais le Souvenir, cette ronce immortelle Attachée à nos cœurs, l'en arracheras-tu ? Quand de tes chérubins la phalange sacrée Nous saluerait élus en ouvrant les saints lieux, Nous leur crierions bientôt d'une voix éplorée Nous élus ? nous heureux ? Mais regardez nos yeux ! Les pleurs y sont encor, pleurs amers, pleurs sans nombre. Ah ! quoi que vous fassiez, ce voile épais et sombre Nous obscurcit vos cieux. » Contre leur gré pourqoui ranimer nos poussières ? Que t'en reviendra-t-il ? et que t'ont-elles fait ? Tes dons mêmes, après tant d'horribles misères, Ne sont plus un bienfait. Au ! tu frappas trop fort en ta fureur cruelle. Tu l'entends, tu le vois ! la Souffrance a vaincu. Dans un sommeil sans fin, ô puissance éternelle ! Laisse-nous oublier que nous avons Malheureux Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 1051 votes<13456Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
Jene croyais pas trouver là Des raisons de souffrir encor! -Un jardin, son humble décor, - (Lequel de nous deux a donc tort?) Mais ton oeil ressemble aux lilas! Tu sais, je n'anticipais pas, Je ne m'étais pas dit, vraiment, Moi qui te combats prudemment, Qu'à chaque instant, à chaque pas, Je heurterais mon coeur qui songe À quelque chose
Jel’ai quitte je souffre au cerveau. Selam c’est mon cerveau qui souffre pas moi. Je ne l’aime plus. J’ai souffert 1an. J’epargne les details. Je l’ai quitte. Cette relation est morte pour moi. Mais je souffre. La journee j’ai peur de le croiser. J’ai ps envie. Il
ilfaut comprendre une fois pour toute que ce sentir bien ne peut venir que de nous de notre vouloir sincère Par marie-reine+méheri, le 21.12.2016 tu sais la vie c'est vraiment de la merde, je le sais, tu le sais, tout le monde le sais. je suis aussi isolé Par Anonyme, le 23.07.2015 tu sais..? certe s, je ne te connais pas, et tu ne me
ons'aime et on s'déchire comme si rien n'avais existé. je t'aime et tu me fais souffrir. à croire que tu ne m'a jamais aimé. moi je t'aime et tu me blesses. je te hais de jour en jour. moi je t'aime et tu me laisses. seul avec mon amour. mon coeur s'éteint encore. plus
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  • poeme je te quitte pour ne plus souffrir